Pour cette étude, la parole a été donnée à une multitude de jeunes différents les uns des autres, du squat au campus d’HEC, du bidonville à l’IHEDN (Institut des hautes études de défense nationale), du jeune en milieu rural au jeune habitant un quartier prioritaire de la ville, et dans une fourchette d’âge la plus large possible. Les constats sont alarmants :
- plus de 50 % des jeunes sont inquiets sur leur santé mentale ;
- 30 % des jeunes ont renoncé à l’accès aux soins pendant le Covid-19 faute de moyens ;
- 700 000 jeunes vont faire leur entrée sur le marché du travail, ils vont rejoindre les 600 000 jeunes déjà au chômage en France ;
- 38% de jeunes travaillent dans le cadre d’un contrat précaire ;
- un jeune sur six a arrêté ses études après la crise.